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Samedi 3 août

  • Activités Sportives

Activités sportives

Pelouse

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Activités sportives

Programme détaillé

LISTE DES ACTIVITÉS : 

 

→ RIO 2016 : Badminton

 

→ ANVERS 1920 : Natation

 

→ ATHENES 1896 : Pelote basque

 

→ ATHENES 1896 : Motocyclisme 

 

→ Canal de l'Ourcq : Motonautique

 

→ ATLANTA 1996 : Vol en planeur 

 

→ ESPACE DES PETIT CHAMPIONS : Gymnastique

 

→ PARIS 1924 : Gymnastique

 

→ AMSTERDAM 1928 : Equitation

 

→ MEXICO 1968 : Force

 

→ SYDNEY 2000 : USEP :

- Courir ensemble (Relais 2024m / Biathlon festif (parcours avec tir à l’arc et/ou laser run)
- Jouer ensemble (2024 passes / KinBall / Quiz olympique par équipes)

 

→ LONDRES 2012 : Escrime

 

→ LONDRES 2012 : UFOLEP : 

- jeux de cornhole, molkky, module de mousse, ballons coupelles, chasubles, cerceaux, tapis de sol, chronomètres goubak

 

→ PEKIN 2008 : Judo

 

→ PLAYGROUND ROUGE : Badminton

 

→ PLAYGROUND BLEU : Basketball

 

→ BARCELONE 1992 : Paddel

 

→ SEOUL 1988 : Billard

ZOSIA KRUK
  • Musique

ZOSIA KRUK

DJ SET | Résident

Pelouse & Grande Halle

ZOSIA KRUK
  • Musique

ZOSIA KRUK

Programme détaillé

→ 19h00 - 21h00 : en extérieur

→ 23h00 - 23h30 : dans la Grande Halle*

* L’accès à la Grande Halle est soumis à une jauge d’entrée. L’organisateur se réserve le droit d’en refuser l’accès si ces jauges sont atteintes.

L'IMPERATRICE
  • Musique

L'IMPERATRICE

Concert FNAC

L’accès à la Grande Halle est soumis à une jauge d’entrée. L’organisateur se réserve le droit d’en refuser l’accès si ces jauges sont atteintes.

Grande Halle

L'IMPERATRICE
  • Musique

L'IMPERATRICE

Programme détaillé

Certaines lumières ne meurent jamais. Celles d’étoiles surpuissantes, de supernovas qui, longtemps après leur mort, continuent à nous parvenir sous forme de mystérieuses pulsations. L’éclat des clubs et des nuits sans sommeil, des stroboscopes et des boules à facettes, images rémanentes imprimées dans nos corps et nos têtes. Les lueurs, enfin, de la French Touch, qui a éclairé le monde de la pop et de l’électro avec virtuosité et élégance, et fait danser L’Impératrice durant son adolescence. Ce sont elles qui portent aujourd’hui son troisième album, comme un élan. Un voyage qui, comme les pulsars, traverse l’espace et le temps. 

Il y a trois ans, Tako Tsubo, dissection chaloupée d’un cœur ballotté par ses émotions, a emmené le groupe autour du monde. Mexique, Etats-Unis, Europe… En se confrontant à d’autres langues, d’autres regards et d’autres territoires, L’Impératrice enrichit le sien et en fait tomber définitivement les frontières. Avec pour seule boussole le plaisir, celui que l’on ressent sur scène, charnel et élémentaire : un refrain qui sonne comme un envol, un beat qui vous attrape les hanches, des applaudissements qui font trembler le sol. 

Cette énergie, les membres de L’Impératrice l'ont emmenée avec eux en studio pour un disque enregistré très vite, entre deux tournées. Les heures passées ensemble les ont propulsés dans un monde à part, où ils se connaissent mieux que jamais. Pas besoin, cette fois, de faire appel à un producteur : Pulsar se sera le fruit de leurs idées, de six personnalités qui, tout en exprimant chacune leur sensibilité, tendent à trouver l’accord parfait. 

Pulsar, troisième album de L’Impératrice, est donc son disque le plus éclectique et le plus « entier », où l’euphorie de la house et du disco se marie à la subtilité des mélodies et des sentiments exprimés. Un disque puissant, tourné vers l’autre, qui porte haut l’idée de l’empowerment et braque ses projecteurs sur tous ceux qui voient l’ombre les menacer.

En témoigne le premier extrait, Me Da Igual, trois mots qui roulent sous la langue, intitulé parfait pour un morceau à la sensualité exacerbée, où les rondeurs de la basse s’habillent d’une guitare pailletée. Un appel à se libérer des injonctions à plaire, à être beaux, parfaits, carénés. Pour se réapproprier son corps en s’abandonnant au bonheur de danser. Suivre, avant tout, le rythme de sa propre pulsation : c’est aussi ce qui fait frémir de plaisir Danza Marilù, hommage caniculaire à l’Italo-disco, goutte de sorbet sur pierre volcanique portée par le bavardage faussement volage entre la basse, toujours elle, et la voix de Fabiana Martone, du groupe italien Nu Genea. 

Car si avec Pulsar, L’Impératrice a étendu son empire, elle l’a aussi ouvert à de nombreux invités. C’est Erick the Architect, du trio Flatbush Zombies, qui pose son flow agile sur Sweet & Sublime - un hymne à l’amitié doublé d’un voyage au long cours dans la galaxie house des années 2000, avec ses samples joueurs, son groove irrésistible et sa puissance de feu. C’est aussi l‘américaine Maggie Rogers, découverte avec le titre Alaska en 2016, dont la voix, ombrée comme un crépuscule d’été sur Any Way, s’habille de la caresse de cordes, de cuivres et d’un filet d’eau comme à même la peau. Le titre parle d’amour, comme la plupart des morceaux de Pulsar : l’amour comme un élan ou une errance, un sentiment qui cherche son chemin à travers nos choix (Déjà-vue), nos écrans (Amour Ex Machina), nos fragilités (Girl!), ou nos béances (Pulsar). Mais aussi nos fantômes, comme ceux qui hantent Love from the Other Side, pop song au sourire mouillé dont le chant est comme démultiplié. Un titre dont la mélancolie douce-amère ne se départit jamais d’un éclat de lumière. Celle qui, portée par le son et le mouvement, ne s’éteint décidément jamais. 

Vivez la performance des Bleus en direct du Club France !

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